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OL: Tony Parker se projette déjà comme le successeur d’Aulas

Dans un entretien à découvrir ce mardi sur BFM Lyon dans "100 % Gones", à partir de 20h15, Tony Parker évoque sa possible reconversion en tant que président de l’OL, lui qui a été adoubé par Jean-Michel Aulas. La légende des Spurs s’y voit déjà et n’a pas peur de ce défi imposant.

Tony Parker en successeur de Jean-Michel Aulas à la tête de l’OL, le plan n’est pas encore acté officiellement, mais il emballe les deux protagonistes. Début avril, JMA répétait à plusieurs médias son envie de voir l’ancien meneur des San Antonio Spurs enfiler le costume de président de l’OL, lui qui est déjà le propriétaire de l’Asvel. "Tony coche à peu près toutes les cases", confiait-il au Figaro, avant de remettre ça dans L’Equipe: "J'ai vraiment le sentiment qu'il a les caractéristiques. En plus des qualités professionnelles et humaines, j'ai une grande affection pour lui et tout ce qu'il représente. [...] Je le dis par transparence et parce que ça me paraît évident, je ne le dis pas parce que j'ai une idée derrière la tête et que j'en ai parlé avec Tony. Il n'y a aucune décision de prise, ni de son côté, ni du mien, ni du côté de nos actionnaires."

"Un honneur" pour TP

Aucune décision certes, mais l’intéressé s’y voit déjà. Après avoir indiqué en avril que cette proposition ne se refuserait pas, le champion d’Europe 2013 avec les Bleus se projette dans le costume du président lyonnais. Ses propos à ce sujet, lors d’un entretien à découvrir en intégralité sur BFM Lyon ce mardi, à partir de 20h15, dans "100 % Gones", affichent ses ambitions.

"C’est un défi immense mais en même temps c’est excitant car avec ce qu’il a mis en place, je pense que tu peux faire tellement de choses, s’enthousiasme Parker sur BFM Lyon. On peut accomplir tellement de choses par rapport à tout ce qu’il a mis en place pour pouvoir grossir le budget et faire d’autres projets, et continuer à investir dans le sport en France. Pour moi, c’est excitant. Oui il y aura une pression énorme, ce qui est normal. Ils ont gagné tellement de titres de champion de France, il a construit un club énorme. Moi, j’aime les challenges comme ça. De toute façon, c’est Jean-Michel qui décidera, c’est lui qui décidera du timing. Je sais qu’il a évoqué 3 à 4 ans dans les journaux. Quand il est prêt, il est prêt. Il saura dans son cœur quand il est prêt à passer la main. C’est un honneur qu’il me considère comme son futur successeur."

MI avec Julien Huët