En images Jean-Louis Aubert : avant son concert ce soir, retour sur 40 ans de scène à Lyon

Paul GANASSALI - 12 nov. 2021 à 06:00 | mis à jour le 12 nov. 2021 à 19:50 - Temps de lecture :
  • Le groupe était passé sur une scène lyonnaise à ses débuts : le West-Side-Club du Palais d'hiver. Téléphone au sommet, revient à Lyon, en novembre 1984 pour un concert à la Halle-Tony Garnier. Archives Le Progrès
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    Le groupe était passé sur une scène lyonnaise à ses débuts : le West-Side-Club du Palais d'hiver. Téléphone au sommet, revient à Lyon, en novembre 1984 pour un concert à la Halle-Tony Garnier. Archives Le Progrès
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  • En 2002, Jean-Louis Aubert, alors en solo, était de nouveau passé par Lyon pour un concert à la Halle-Tony Garnier. Photo Le Progrès/Pierre AUGROS
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    En 2002, Jean-Louis Aubert, alors en solo, était de nouveau passé par Lyon pour un concert à la Halle-Tony Garnier. Photo Le Progrès/Pierre AUGROS
  • A l'époque, le titre Alter ego passait en boucle sur les radios. Photo Le Progrès/Pierre AUGROS
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    A l'époque, le titre Alter ego passait en boucle sur les radios. Photo Le Progrès/Pierre AUGROS
  • En 2007, il décide de se lancer seul dans les salles de concerts, avec une simple guitare acoustique, retraçant sa carrière depuis les débuts de Téléphone, en intimité avec le public. Photo Le Progrès/Pierre AUGROS
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    En 2007, il décide de se lancer seul dans les salles de concerts, avec une simple guitare acoustique, retraçant sa carrière depuis les débuts de Téléphone, en intimité avec le public. Photo Le Progrès/Pierre AUGROS
  • La tournée est dédiée à son ami Olivier Caudron, Olive, du groupe Lili Drop, décédé d'une tuberculose un an plus tôt. Photo Le Progrès/Pierre AUGROS
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    La tournée est dédiée à son ami Olivier Caudron, Olive, du groupe Lili Drop, décédé d'une tuberculose un an plus tôt. Photo Le Progrès/Pierre AUGROS
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  • En 2011, Jean-Louis Aubert se produit de nouveau à Lyon à la salle Tony Garnier après un passage remarqué au 1er étage de la tour Eiffel, à Paris. Cette fois, il présente un grand show avec neuf musiciens. Photo Le Progrès/Stéphane GUIOCHON
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    En 2011, Jean-Louis Aubert se produit de nouveau à Lyon à la salle Tony Garnier après un passage remarqué au 1er étage de la tour Eiffel, à Paris. Cette fois, il présente un grand show avec neuf musiciens. Photo Le Progrès/Stéphane GUIOCHON
  • Les Insus, reformation partielle de Téléphone, sans la bassiste Corinne Marienneau, se sont produit au Transbordeur en octobre 2015. Les places sont parties en quelques minutes. Photo Le Progrès/DR
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    Les Insus, reformation partielle de Téléphone, sans la bassiste Corinne Marienneau, se sont produit au Transbordeur en octobre 2015. Les places sont parties en quelques minutes. Photo Le Progrès/DR
  • Le groupe ne devait faire que quelques dates… Photo Le Progrès/Maxime JEGAT
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    Le groupe ne devait faire que quelques dates… Photo Le Progrès/Maxime JEGAT
  • … Mais devant le succès, une véritable tournée française à guichet fermé les a amenés à repasser par Lyon, à la salle 3000 de la cité internationale l'année suivante. Photo Le Progrès/Maxime JEGAT
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    … Mais devant le succès, une véritable tournée française à guichet fermé les a amenés à repasser par Lyon, à la salle 3000 de la cité internationale l'année suivante. Photo Le Progrès/Maxime JEGAT
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  • Ce soir, vendredi 12 novembre, Jean-Louis Aubert sera seul en scène avec des hologrammes de lui-même qu’il déclenche en live. Une formule sur laquelle il a travaillé trois ans durant avec une équipe d’informaticiens et d’ingénieurs. Photo Le Progrès / Emmanuel Wino
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    Ce soir, vendredi 12 novembre, Jean-Louis Aubert sera seul en scène avec des hologrammes de lui-même qu’il déclenche en live. Une formule sur laquelle il a travaillé trois ans durant avec une équipe d’informaticiens et d’ingénieurs. Photo Le Progrès / Emmanuel Wino
Après la réformation partielle de Téléphone (sous le nom des Insus), Jean-Louis Aubert est de retour sur scène, en solo. Ou presque. Grâce à une trouvaille technologique, l‘ancien Téléphone se démultiplie sous forme d’hologrammes. On se retrouve alors avec plusieurs Aubert : un ou deux à la guitare, un troisième au piano, un quatrième à la batterie, sans compter le vrai, celui de chair et d’os au milieu de ses doubles virtuels. Un groupe à lui tout seul. Il se produira à la Halle Tony Garnier, ce vendredi 12 novembre. L‘occasion de faire un retour en images sur ses nombreux passages à Lyon tout au long de sa carrière.
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